Vous avant toutPrenom / Pseudo : Élodia
Votre Age : 13 ans
Premier aperçu du RPG : J'adore le design !
Où avez vous connu le jeu : sur un top-site
Votre PersonnageNom : Silverstein
Prenom : Riley Joy
Age : 16 ans
Histoire (4 lignes) : Je suis née un jour de neige intense. Quand mon père me raconte cette histoire il n'a de cesse de répêter qu'il y avait de la neige jusqu'au milieu de la voiture. Je suis née un vingt-six décembre mille neuf cent quatre vingt onze. Ce fut la guerre pour conduire ma mère à l'hôpital, il fallut déblayer la voiture et il y avait des kilomètres de bouchons sur la nationale qui menait à l'hôpital. Mon père crut devoir faire accoucher sa femme lui-même. Ils arrivèrent une heure plus tard, mon père érinté, soutenant ma mère d'un bras faible. Les médecins l'emmenèrent directement en salle de travail, mon père ne souhaita pas l'accompagner; il avait une peur bleue du sang et risquait de tomber dans les vappes. Le travail fut vite fait et j'étais vivante malgré mes deux mois d'avance. Ma mère pleura beaucoup et ce fut une dure épreuve que de me voir sous couveuse pendant un mois entier. Enfin, la famille put regagner la maison, heureux, presque euphorique. Mes parents attendaient un enfant depuis si longtemps, ils n'y croyaient plus à trente-quatre ans passés. J'eut une enfance merveilleuse, incroyable. Nous ne croulions pas sous l'or mais nous nous en satisfaisions. Los Angeles était sûrement la meilleure ville pour que je puisse m'épanouir à mon aise. Je grandis, atteignant l'âge redouté de l'adolescence. Je ne fut pourtant pas une adolescente compliquée et rebelle, je crois bien n'avoir encore jamais fait cette fameuse crise d'adolescence. Je n'en eu pas l'occasion..
Le vingt-six décembre deux-mille quatre je fêtais mes treize ans et il neigeait comme jamais. J'étais sujuguée par la beauté de cette étendue blanche devant chez moi, quand je vis ma mère démarrer la voiture et s'engager sur l'allée en face de chez nous. Je me souviens encore aujourd'hui de la sensation que je ressentit, mon coeur eut un raté. Je vis la voiture qui arrivait à toute vitesse dans la rue perpendiculaire à la notre mais je fut si surprise que je n'eut pas le réflexe d'hurler, d'appeler mon père ou de courir à l'extérieur pour prévenir ma mère. Le bruit fracassant du choc résonna dans le quartier et je vis la voiture de ma mère prendre feu, ne pouvant détacher mes yeux de la carcasse en flammes.
Ma mère mourut sur le coup et je crois que je mourus en même temps. Depuis ce jour, les anniversaires me dépriment, je prend peur dès que je vois ne serait-ce qu'une flamme de bougie. Je me suis renfermée sur moi-même. Mon père et moi avons déménagé après l'incident. Nous sommes restés très proches, nous nous soutenons et même après trois ans, la blessure ne s'est pas encore refermée.
Caractère (2 lignes) : Je pense être quelqu'un de peu commun, du moins je l'espère. On me dit mystérieuse. Je suis comme
la brise, ou l'eau qui coule, on ne m'attrape pas, on ne me comprend pas. Je cherche à rester hors d'atteinte,
constamment. Je ne veux pas entrer dans le moule de cette société hiérarchisée par des lois et des êtres que
je ne comprend ni ne connais. J'aime me dire anti-conformiste, mais finalement qu'est ce que l'anti-conformisme ?
Personne ne le sait réellement, après tout ne serait-ce pas simplement un état d'esprit. D'ailleurs je trouve que ce
trait de caractère devient bien trop à la mode. Je n'ai pas la prétention de me dire rebelle, je ne le suis presque pas.
Je suis discrète, légèrement timide et énormément maladroite. Ma maladresse ne me rend évidemment pas aussi
discrète que je le voudrais mais je me soigne, petit à petit. Je possède aussi un côté plus ou moins sombre. Certains
appellent ça 'double personnalité', moi je pense seulement que c'est les traits de caractère que j'apprécie le moins chez
moi, que je refoule et qui ressortent à certains moments d'égarement. Dans ces périodes là, je deviens une fille assez
cruelle. Je n'aime pas qu'on me tienne en cage, ou du moins qu'on m'en donne l'impression. J'ai besoin de ma liberté et
les gens trop avenants font rapidement connaissance avec ma franchise incroyable. Je me fiche qu'on m'aime ou pas, je
veux simplement être moi. Je maîtrise aussi le sarcasme comme un maître, c'est une sorte de passe temps chez moi.
J'aime manier les mots, les faire rouler sous ma langue, les entendre claquer bruyamment dans l'air et voir les visages
de mes interlocuteurs se décomposer petit à petit. C'est un plaisir que je savoure avec le même engouement à chaque
fois que j'en ai l'occasion. On me dit méchante. Je ne pense pas l'être, je me protège un point c'est tout. On m'appelle
souvent 'The Ice Queen', je le prend pour un compliment. Les attaques ricochent à la surface, ne pénètrent pas, sauf à
de rares occasions. Malgré tout, je reste quelqu'un de vulnérable, surtout en amour. Je tombe amoureuse facilement,
suis rapidement fascinée par les hommes qui m'entourent. Et j'aime cette sensation que procure le fait d'aimer, même
si ce n'est pas réciproque. Me faire mal ne me fait pas peur. Je ne crains pas, ou plutôt, je ne crains plus les déceptions,
au contraire, elles me forcent à aller plus loin. Je suis ambitieuse et ai du courage.
Description du Physique : Tout le monde m'a toujours complimenté sur mes jolis yeux bleus... mais depuis la mort de ma mère, ils sont devenu tristes. De grands yeux tristes qui autrefois étaient pétillants de bonheur... Mes cheveux bruns frisent lorsqu'ils sont mouillés et je déteste cela, même si mon père adoré dit que c'est mignon... Mais, même si je n'aime pas tout de mon corp, je me fous de n'être pas parfaite. Je m'habille très simple et je ne me soucis pas de si les gens trouvent que je suis jolie...
Personne sur l'avatar : Alexis Bledel
[J'aimerais ajouter une partie, car sous l'inspiration du moment, j'ai eu une autre idée ]Particularité :Je suis claustrophobe. Les espaces trop exigus m'angoissent profondément, à tel point que je suis obligée d'ouvrir
toutes les fenêtres d'une voiture lorsque je me trouve dans l'habitacle. Je fume beaucoup trop. J'ai essayé d'arrêter
à maintes reprises mais, malgré ma volonté de fer, je crois que je n'en ressens pas l'envie et les pubs anti-tabac
ne m'atteignent plus depuis un bout de temps. Je suis une fan inconditionnelle des Beatles, et même si certains
ne cessent de me charrier, je ne démord pas. Les vinyles s'entassent dans ma chambre.